Lascaux s’enfonce dans l’art pariétal de la grotte éponyme, découverte par un groupe d’adolescents en 1940, dans le Périgord noir : des peintures et gravures anciennes dont le sens échappe – on dit « préhistoriques » – et tant mieux : c’est comme une visite guidée de la grotte, inaccessible depuis 1963 pour raison de conservation suite à plusieurs attaques microbiennes. En entrant, tout paraît sombre, comme dans la cavité ; le discours est instructif, la partition chorégraphique évanescente. En sortant, on ne sait pas. On ne sait jamais quand la préhistoire finit.
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